« (…) On peut citer le cas étrange des bassins bondisseurs, qui compensent une faiblesse musculaire des jambes par un fessier suffisamment puissant pour rebondir toujours quand on s’affaisse à chaque pas.
Pour autant, ce rebond de bassin n’est ni une pathologie médicale, ni le produit logique d’une évolution quelconque que la théorie darwinienne ne saurait expliquer, celle-ci attestant que, pour écraser les fourmis, l’émergence du pouce s’est toujours montrée suffisante. »
Lu dans le chapitre « Les va-et-vient de haut en bas du bassin »