LES BRAS
Si on peut s’en passer pour marcher, ils sont utiles pour rattraper un faux pas, se donner des airs, ou simplement se les croiser. Autrement dit, les bras, on ne s’en balance pas.
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GÉNÉRALITÉS
Quand on marche, on peut faire à peu près ce qu’on veut de ses bras. A ce stade, on peut dire que tout est dit. Il s’agit donc de justifier l’utilité de ce dossier.
JEUX DE VRILLES
L’étude du bassin nous a fait découvrir les marches de type pingouin, malin, mannequin, plaisantin. Les mêmes types s’observent dans le mouvement des bras. Que se passe-t-il alors quand le bassin est de type pingouin, et les bras, de type mannequin?
DÉPHASAGE DES SEGMENTS
Tout le monde peut comprendre que, ce qui distingue le premier de cordée du dernier à trainer, c’est qu’ils ne sont pas en phase. Il est plus difficile de déceler lequel est à quel bout de la corde. Ce chapitre apporte peut-être un élément de réponse à cette question hautement polémique
PONDÉRATION DE L’ÉPAULE
Nous avons vu comment le ballant du bras dessinait les trajectoires du coude, du poignet et du bout de la main. Or, le pivot principal de ce ballant, l’épaule, n’est pas sensé, dans une marche, être un point fixe. Ça ne change pas tout, mais un peu tout de même.
CLEFS DE BRAS
En déphasant les segments d’un bras d’une certaine manière, on peut en déduire des phases clefs. De quoi intéresser l’animateur qui, en général, débute par là.
DÉVELOPPEMENT DU BALLANT
Après avoir vu les trajectoires possibles du coude et du poignet lors du ballant du bras, d’abord sans, puis en fonction du mouvement d’épaule, nous allons développer celle du poignet.
BALLANTS DE FACE
Une série d’études permettant d’identifier des trajectoires types vues de face.
LES MAINS
Si on peut faire à peut près n’importe quoi de ses bras en marchant, les mains tendent à réagir en conséquence. Quelques remarques sur leur comportement.
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© C. Clamaron 2023