LE BASSIN
◊
Préambule
Nous aurions la plante des pieds aimantée, ce préambule serait superflu. Comme ce n’est pas le cas, nous avons cru bon de commencer par des précisions sur les conditions d’équilibre d’une marche.
LES HAUTS ET LES BAS DU BASSIN
Quand on marche de façon cyclique, le bassin avance le long d’une ligne à peu près sinusoïdale. « A peu près » voulant dire « pas vraiment », nous allons voir comment glisser vers « pas du tout » en ajustant à l’excès son oscillation verticale.
LES VA-ET-VIENT DU BASSIN
Quel rapport entre une variation de vitesse horizontale et un va-et-vient ? C’est ce que va montrer ce chapitre. Pour bien le distinguer du précédent, nous retirerons toute oscillation verticale aux études présentées.
LES VA-ET-VIENT DE HAUT EN BAS DU BASSIN
Après avoir analysé isolément les deux oscillations en déplacement du bassin, verticale et horizontale, nous en faisons désormais la synthèse.
LES BASCULES DU BASSIN
Selon la façon dont bascule le bassin, une démarche évoque celle d’un mannequin, d’un dandin, d’un plaisantin, voire même d’un pingouin. Ce chapitre n’a donc rien d’anodin.
VA-ET VIENT D’UN BASSIN QUI BASCULE DE HAUT EN BAS
Après avoir considéré isolément les oscillations en déplacement verticale et horizontales du bassin, puis celles en rotation dans tous les sens, on combine le tout. Finit les simples pentes, cercles ou ellipses, voici les trajectoires à doubles boucles.
LE DESSIN DU BASSIN
Animer un bassin, c’est plus animer une masse à orienter que deux têtes de fémurs à situer. Mais la première enveloppe les deux autres. Après la théorie, nous concluons sur des questions graphiques.
◊
© C. Clamaron 2023