Preston Blair songeait-il à ces subtilités en animant ses ondulations ? Son intuition lui suffisait sans doute. Mais en analysant son schéma, nous avons posé un principe important :
La superposition des inflexions et des intersections assure entre deux phases d’une ondulation un maximum de souplesse.
Le schéma de Preston n’y répond pas tout à fait, mais passons cette approximation. Nous avons le principe, il faut en tirer avantage en connaissant ses limites. En effet, il est difficile de l’appliquer sur chaque phase en animant clef à clef. L’animation pas à pas s’y prête mieux.
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FIN DU CHAPITRE© Christophe Clamaron 2021