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Le pataud
Le pataud fait durer l’aplat du pied pendant le double appui pour contrôler un ballant excessif du tronc. Son air bête ne l’empêche donc pas d’être prudent.
Prudent mais optimiste, si on en croit la projection en avant de la tête, signe d’allant. Notons les pentes opposées de la tête et du bassin. En les prolongeant, elles seraient sécantes derrière le marcheur.
Encore une fois, cette inversion produit, dans le cycle développé, une inversion des sommets des motifs des trajectoires (en avant pour la tête, en arrière pour le bassin).