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Conclusion
Les marches de ce chapitre présentent-elles les trajectoires attendues? On peut admettre que oui, à quelques variantes près. Pour s’en éloigner franchement il faut rajouter des pas, introduire des accidents excessifs dans le mouvement.
Le caractère d’une marche dépend autant du type de trajectoires que de leurs combinaisons. Leur orientation, parallèle ou sécantes, leurs ouvertures différentes si elles bouclent sur place, sans compter le déphasage plus ou moins marqué entre différents niveaux oscillants, tout ceci contribue à l’allure du marcheur, et ouvre toujours de nouvelles possibilités.
Toutefois, lorsqu’on aborde une animation, on ne commence pas par poser des trajectoires, mais par dessiner des phases dont on déduit des trajectoires. Celles-ci prendront naturellement leur forme entre extrêmes de qualité. L’animateur qui en trouve de radicalement différentes à celles montrées jusqu’ici a soit trouvé un truc, soit s’est radicalement trompé.
Mais, il est vrai que la chiromancie n’est pas une science exacte.
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© C. Clamaron 2023