Pour l’araignée, il faut trouver une petite variante à cause de la paire de pattes supplémentaires. Mais ce qu’il faut surtout noter, c’est la courbure des pattes.
Cela a un effet sur la manière de les poser. La fourmi semble plus délicate, l’araignée plus bagarreuse.
Fourmi en 12 phases Araignée en 16 phases
On peut tenter d’autres durées de cycles, de temps d’appuis…etc. Les modèles présentés ne sortent pas d’un bréviaire d’entomologiste. Ils résultent d’un peu d’observation et de logique. On peut donc, à partir des principes énoncés, faire d’autres propositions. Vu le nombre d’espèces que l’on ne connait pas, personne ne vous contredira.