PETITES BÊTES – Les contorsionnistes

          

LES CONTORSIONNISTES

En cours


1

Le serpent

 Le serpent peut se déplacer de trois manières différentes.

La première consiste à se déplacer en ligne droite, grâce à un phénomène de contraction rétractation musculaire qui se produit le long  de sa surface ventrale. Un peu comme un lombric, mais de façon plus discrète, c’est à dire sans produire de vague sur le dos. Il progresse ainsi en semblant immobile, capable de passer dans des tubes de son propre diamètre. En terme énergétique, ce mode de déplacement est aussi économique pour lui que pour un animateur à l’animer.

Animation

La seconde consiste à suivre comme un rail une trajectoire ondulante. Cette fois, il ne se contente pas d’utiliser ses muscles ventraux, mais prend appuis sur les crêtes de l’ondulation pour aider dans son mouvement. Plus rapide, ce mode de déplacement est un peu plus long à animer.

Animation.

On parle d’ondulation à motif fixe.

 

Une vipère des sables évolue de manière tout aussi régulière, mais en se déplaçant de façon latérale.

Animation

La troisième méthode consiste à soulever le corps du sol en prenant trois points d’appuis au sol. , afin d’en limiter les frottements. C’est le mode de déplacement le plus coûteux en énergie, mais aussi le plus rapide. Cette fois, c’est un réel travail d’animation.

Animation

Pour comprendre ce mouvement, rappelons nous


2

Les vers solitaires


FIN DU CHAPITRE

© Christophe Clamaron 2021

error: Contenu protégé.