LES BRAS – Pondération de l’épaule (1)

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Préambule

En faisant pivoter un segment sur une de ses extrémités, l’autre effectue un arc de cercle que l’on peut décomposer en deux mouvements, un horizontal et un vertical.

En déplaçant le pivot, sa distance se cumule en + ou en – à celle de l’extrémité opposée. Selon la mesure, l’arc de cercle s’élargit, se referme, voire s’inverse, à l’horizontal dans cet exemple, …

… à la verticale dans celui-ci.

Ces effets s’appliquent aux trajectoires du bras lorsque l’épaule, origine du ballant, longe les figures types identifiées dans un précédent chapitre. Outre des trajectoires verticales ou horizontales, l’épaule peut longer des trajectoires obliques ou circulaires si la ceinture scapulaire a du roulis ou fait des lacets (oscillations de rotation en X et Y),…

  … ou bien des segments courbes, des trajectoires en 8 , voire « en crêpe » si, aux oscillations de la ceinture scapulaire, s’ajoute un mouvement de pilon du tronc (oscillation de déplacement, axe Y).

Les figures en « limaçon », en « scarabée » et en « trèfle » impliquant une variation de vitesse du bassin (cavale, axe X), elles sont annulées ou déformées par un tangage du tronc. Nous les passerons donc dans le catalogue qui va suivre.

Un premier catalogue traitera spécifiquement de la trajectoire du coude, puis un second ajoutera celle du poignet. Les mouvements combinés, oscillation de l’épaule et ballant du bras, seront exagérés pour mettre au mieux en évidence les effets d’un déphasage sur les trajectoires.

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