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Première approche
En combinant 4 déphasages en lacet avec 4 en roulis, on obtient 16 combinaisons par niveau. En combinant les combinaisons du bassin et des épaules, on en obtient 256. Il ne s’agit pas de les présenter toutes, mais d’en comparer suffisamment pour se rendre compte des effets possibles sur l’allure d’une marche.
Nous commencerons par proposer quelques cas de cette manière.
bassin – épaules
( lacet, roulis ) – ( lacet, roulis)
(y,x) – (y, x)
Le déphasage d’un niveau se cumule à celui du dessous, le bassin aux pieds, les épaules au bassin. Un niveau peut donc osciller parce qu’il accompagne celui de dessous, et avoir un déphasage de 0.
Quand tous les niveaux oscillants sont synchrones, la démarche est celle du parfait pingouin.
(0,0) — (0,0)
Quand tous ont une avance sur celui de dessous, c’est le parfait plaisantin.
( 1/4 , 1/4 ) — ( 1/4 , 1/4 )
Quand tous les niveaux sont inversés, c’est le parfait mannequin.
( 1/2 , 1/2 ) — ( 1/2 , 1/2 )
Quand tous sont en retard sur celui de dessous, c’est le parfait dandin.
( -1/4 , -1/4 ) — ( -1/4 , -1/4 )
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Combinaisons moins simples
Voici un pingouin jouant au mannequin, …
( 0 , 1/2 ) – ( 0 , 1/2 )
… un mannequin jouant au pingouin…
( 1/2 , 0 ) – ( 1/2 , 0 )
… un pingouin plaisantin jouant au mannequin dandin…
( 0 , 1/4 ) – ( 1/2 , 3/4 )
… et un dandin mannequin jouant au plaisantin pingouin.
( 3/4 , 1/2 ) – ( 1/4 , 0 )
Il n’est pas certain que l’on retienne toutes ces combinaisons dès lors qu’elles se compliquent. Mieux vaut chercher une autre manière de les répertorier.