LA MARCHE – Va-et-vient d’un bassin qui bascule de haut en bas (11)

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Conclusion

En pratique, on ne part pas d’une  trajectoire pour animer un bassin, mais de phases dessinées dont on déduit la trajectoire. Cependant, tant que l’on anime des marches symétriques, on doit s’attendre à retrouver ces figures types plus ou moins déformées, non seulement en raison d’un déphasage quelconque entre oscillations, mais aussi parce que les amplitudes peuvent varier. Dans les cas présentés au long de ce chapitre, l’amplitude en rotation valait celle en déplacement, choix utile pour comparer les figures, mais qui n’est en rien limitatif.

FIN DE CHAPITRE

© C. Clamaron 2022

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