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Extrêmes de vitesse synchronisés aux phases principales
En soustrayant la valeur de dernière position au sol (verte) à la valeur de contact (jaune) on obtient la durée d’enjambée. Les valeurs sont celles pour un pas. Pour l’autre pas, ajoutez-leur 24.
Plus la pose initiale est expressive (déséquilibre), plus le décalage des extrêmes de vitesses d’une phase principale à une autre produit un effet sensible.
Les marches 1 et 3 présentent la plus petite et la plus grande durée d’enjambée (6 images contre 18). La première semble pesante et agressive, l’autre, légère et discrète.
Les marches 2 et 4 présentent la même durée d’enjambée (12 images). Mais la première n’hésite pas à se porter en avant au moment du contact, tandis que l’autre assure préalablement son appui.
Difficile cependant d’expliquer, pour ces deux dernières marches comment procède la 2 pour avancer sans la poussée du pied arrière, ni la 4 pour freiner avant d’avoir pris son appui en avant. Pas de quoi paniquer. Une solution est de dire que le pied adhère au sol à chaque appui. Une autre est de tenir compte du balancement du tronc.