LA MARCHE – Les va-et-vient du bassin (1)

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Ajustement symétrique de la variation horizontale de vitesse du bassin

Observez un promeneur en train de méditer, le pas lent. Son bassin ralentit au moment de l’enjambée, puis accélère au moment du double appui. Dans ce cas, le rythme du moindre effort est le double amorti symétrique.

La pente de la flèche indique une vitesse, plus ou moins importante selon l’angle, nulle à l’horizontal. L’évolution de la pente (la rotation de la flèche) indique une accélération ou une décélération. Quand au point rouge, il indique l’extrême lent au moment précis où il clignote.

Les exemples qui suivent ne comportent aucun extrême de hauteur. La variation de vitesse horizontale du bassin met en évidence des extrêmes de vitesse, l’extrême lent (L), et l’extrême rapide (R). Comme pour l’oscillation verticale, ces deux extrêmes peuvent plus ou moins correspondre aux phases de contact et de passage.

Cycles en 48 phases. Le point rouge clignote au moment précis de l’extrême lent.

On peut donc imaginer les faire passer tour à tour sur chacune des phases principales d’un pas, et obtenir ainsi quatre marches différentes.

La première pose l’extrême lent sur la phase de contact,…

… la seconde sur la phase suivante…

… la troisième sur la phase de passage,…

… et la quatrième sur la phase suivante.

On a tous déjà vu ces dégaines quelque part, non ?

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