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Les marches symétriques
Une marche est symétrique du moment que l’on maintient l’égalité entre enjambées et doubles appuis. Elle le reste tant que l’on se contente d’insister sur les unes ou sur les autres, en pondérant les unes par les autres.
Dans les schémas qui suivent, la durée indiquée en enjambée vaut pour les deux. En doublant cette durée et en ajoutant celles des doubles appuis, on obtient la durée du cycle, 24 phases.
Insister sur les appuis donne des marches de plus en plus nerveuses.
Les enjambées devenant plus rapides, …
… le contact avec le sol devient brutal.
Ce dernier ajustement inverse le rapport initial entre enjambées et doubles appuis. Sans doute le choisirait-on pour un robot programmé à tout détruire sous ses pieds. Ceci dit, avec une amplitude de pas plus courte, il pourrait évoquer la marche d’une personne âgée. L’effet dépendra donc toujours du rapport entre l’amplitude du pas et la hauteur du personnage, ainsi que de sa posture.