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Course
Plus on va vite, moins sont sensibles les mouvements de vrille et d’inclinaison du tronc. Non qu’ils n’existent plus, mais la tendance du coureur est de limiter au maximum les amplitudes d’oscillations du bassin et des épaules pour augmenter au contraire celle des extrémités, mains et pieds, dans le plus court laps de temps possible. En tout cas, s’il veut aller vite. Le jogger du dimanche, lui, peut tout se permettre.