DISTRIBUTION DES PHASES
Une partie des explications données jusqu’ici attribuent aux durées des valeurs par défaut, avec t comme unité de temps. Cette manière de procéder, sans durées réelles, permet d’inclure la variable temps dans le calcul d’accélérations sans se soucier de l’échelle du dessin. Ainsi peut-on construire des trajectoires en ne pensant qu’à leurs proportions, et ne leur attribuer des dimensions définitives que dans un second temps.
Du moment que l’échelle est définie, on en déduit des durées qui, multipliées par 24, donne le nombre de phases nécessaires à une animation.
Le nombre de phases n’est pas le nombre d’images. 1 seconde d’animation nécessite 24 phases si on anime à 24 p/s, seulement 12 si on anime en pas de 2 (2i/p) , 8 si on anime en pas de 3, … etc. Certaines animations supportent mal les cadences d’animation trop lentes, en particulier celles qui rendent compte d’accélérations.
Toutes les durées en phases indiquées dans les présentations qui suivent sont donc systématiquement données à 24 p/s.
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DISTRIBUTION DE MOUVEMENTS RECTILIGNES
Doté des bonnes formules, on reporte rapidement vitesses ou accélérations constantes avec une règle et une calculette.
Et si on perd sa règle ?
DISTRIBUTION DE PARABOLES
Les points de construction d’une parabole peuvent servir à positionner les phases d’un rebond de balle. Autrement dit, construire une parabole, c’est réaliser son animation
Mieux vaut cependant distinguer ces deux aspects.
DISTRIBUTION DE SUITES HORIZONTALES
Nous l’avons vu, la construction théorique d’une suite de rebonds n’est pas des plus simple. En pratique, des astuces permettent de se simplifier la vie.
DISTRIBUTION DE SUITES SUR PENTE
La construction d’une suite horizontale peut profiter de deux systèmes de projection des hauteur. La construction d’une suite en pente peut en profiter d’un troisième.
Ça ne complique pas beaucoup plus les choses.
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© Christophe Clamaron 2020