AJUSTEMENT D’UN CYCLE DE COURSE
← 0 – 1 – 2 – 3 – 4 – 5 – 6 (…) →
Plus une course grimpe en vitesse, plus elle tend à être symétrique et à réduire ses temps d’appui. Aussi, rompre l’égalité entre enjambées ou entre appuis présente, a priori, peu d’intérêt. Nous allons nous en assurer en présentant une étude en miroir de celle de la marche. La cadence des courses présentées est lente, 2 pas par seconde, soit 24 phases par cycle.
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Cycles non symétriques
Comme pour la marche, il est possible de rompre la symétrie des durées, soit des doubles enjambées, soit des appuis, soit des deux.
Schéma des extrémités avec des appuis de durées inégales
Anim appuis non symétriques COMME MOMENTS D’UN CYCLE
Les appuis n’ont pas la même longueur et sont centrés de profil.
Schéma des extrémités avec des doubles enjambées de durées inégales
Anim doubles appuis non symétriques
Les appuis ont la même longueur et ne sont pas centrés de profil.
Schéma des extrémités avec doubles appuis et doubles enjambées de durées inégales
Anim doubles appuis et enjambées non symétriques
Les appuis n’ont pas la même longueur et ne sont pas centrés de profil.